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Affichage des articles du août, 2012

L'emprunte de la guerre d'Isabelle MAURY

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  Paroles d’appelés d’Algérie Entre 1954 et 1962, un million et demi de jeunes Français ont été appelés en Algérie pour aller faire ce qu’on appelait à l’époque de la « pacification ». Quand ils sont rentrés, la plupart se sont tus, la société, elle-même, est restée muette sur le retour de ses garçons. Au fil du temps, pourtant, le mur s’est fissuré et, par la brèche de récits individuels, d’anciens soldats ont commencé à témoigner.  Quelles conséquences ont eu ces mois passés en Algérie pour ceux qui découvrirent là-bas qu’il s’agissait bien d’une guerre ? Quelle a été leur expérience singulière et dans quel état d’esprit sont-ils rentrés ? Leurs corps, leurs pensées, leurs sentiments, leurs désirs ont-ils été transformés par cette guerre ? Quelle a été leur vie d’après ?  Les cinq hommes qui ont accepté de témoigner dans ce livre viennent d’horizons très différents : François, postier installé dans un petit village breton, à la vie simple, nourrie par le souvenir de ses cama

La tribu de Stéphanie LEPAGE

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Dans cette maisonnée inquiétante, les invités ont tout intérêt à se méfier… Non-sens et perversité sont aussi au rendez-vous ! À moins que les invités eux-mêmes aient pire à se reprocher ? Mon avis : Dans cette maison, les gens sont hors du commun. Je peut pas trop résumé l'histoire, sinon je vais en dire trop et ce sera plus une découverte, car faut vraiment le découvrir !!! La 1ére partie de l'histoire, c'est un narrateur (que l'on ne connaît pas), il raconte l'histoire d'Anne et Ludo, personnes égarées, qui vont être les invités de la maison. En 2éme partie, c'est Rémi DOBROSKI, personne qui traque les MONTFERREAU (habitants de la maison), qui est le narrateur. J'ai quand même du relire le livre 2 fois pour être sur d'avoir bien comprit. L'intrigue est de suite mise en place, les rebondissements s’enchaîne, on à pas le temps de dire ouff qu'il ce passe déjà autre chose. Ce livre ma tenue en haleine du début à la fin !!

Miroir, le reflet du tueur de Olivier ROQUES

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" Ce jour-là, en visitant la demeure des Pridonard, l’agent immobilier chargé de la mettre en vente ne soupçonne pas que le miroir dans le grenier va tragiquement faire basculer son destin. Le commissaire Frulome, lui, n’a plus qu’à compter les cadavres qu’un esprit maléfique sème dans la ville et tâcher de mettre fin à cette vengeance destructrice… " Mon avis : Une demeure, un agent immobilier chargé de la vendre.  En la visitant, il découvre un miroir recouvert d'un drap au grenier. Il est curieux et enlève le drap .... A partir de cet instant, sa vie changera pour toujours. Le commissaire Frulome sera chargé d'arrêté le massacre, car oui il y aura des cadavres... et pas qu'un peu ! C'est le 1er livre d'Olivier ROQUES. Il fait 110 pages mais 110 pages ou on ne s'ennuie pas une seconde. Dés la 1ère on bascule dans l'horreur.  L'histoire, elle, se lie facilement, on vas de rebondissements en rebondissements, on à envie de